La laideur a ceci de supérieur à la beauté qu'elle ne disparaît pas avec le temps, disait Serge Gainsbourg. Il ne croyait pas si bien dire. Deux photos, deux atmosphères différentes, même paysage glauque (prix spécial à celui qui devinera où ont été prises les photos!)... Un champ de coton, un troupeau de moutons, de la crème chantilly, une crète de montagne enneigée, qu'est-ce? Et en dessous, un paysage urbain dans la pire acception de ce mot, une vie grise... Cette laideur-là, je vous le confirme, ne disparaît jamais. Je suis d'autant plus heureuse d'avoir pu saisir ces moments d'un ciel insoutenablement beau avant l'orage.Et vous, êtes-vous aussi entourés de laideurs immuables et de beautés éphémères?
5 commentaires:
Hum... Au Nord-Est non loin du périph' ?
(le contraste dans la première est parfait!)
(je prefere la deuxieme)
regarde tim noble et sue webster : white trash.
Avec ce ciel, on en oublierait le reste... mais il y a une autre laideur : le bruit du périph' !
Doit-on comprendre que tu n'es pas une fan du Plan Voisin du Corbusier ?
;-))
http://www.airsdeparis.centrepompidou.fr/viewtopic.php?t=109
Secondflore: et non, ce serait plutôt le Nord-Ouest! :-) Et c'est beaucoup plus loin que le périph!
Vaselinethirsty: je connais assez peu noble et webster, sais-tu s'ils exposent de temps en temps à Paris?
Lohengrin: j'avoue que je ne suis pas une grande fan de Le Corbusier, non! Peut-être au Brasil... Merci pour le lien, je ne connaissais pas du tout le "Plan Voisin"!
Porte de Clichy, non..??
Pour ma part, j'habite sur une île de l'océan indien, et je ne suis entourée que de belles choses.
Encore que, quand on regarde bien, la beauté est partout mais la laideur aussi...
Il avait raison Gainsbourg, la laideur reste alors la beauté part avec le temps.
Laisser un commentaire